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"SWING" : ce qu'ils en disent !
- par Swing Mood
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- 01 nov., 2020
- •
Le mot « Swing », dans son acceptation musicale, suscite beaucoup de mystère. C’est quoi exactement le Swing ?
Beaucoup se sont essayés à le définir : musiciens, compositeurs, historiens de la musique, critiques ou producteurs. Tantôt en référence à une période du Jazz, tantôt décrit comme une façon d'interpréter un thème, parfois évoqué pour décrire cette énergie qui relie les musiciens jouant ensemble, voire même comme une manière d’être ou une philosophie
!
On sait juste que le Swing ne se traduit pas en symboles sur une partition. Ces définitions, toutes très différentes, nous en disent sans doute plus sur leurs auteurs que sur le Swing lui-même. Mais cela nous dit aussi la richesse de cette musique et de ses interprètes, la magie de sa création et de son interprétation.
C'est peut-être Duke Ellington qui nous livre finalement la plus belle des définitions lorsqu'en 1932 il donna à l'un de ses morceaux ce titre aux allures d'éloge absolu du Swing : « It don’t mean a thing (if it ain’t got that swing)».
Voici ce que disent des grands noms du jazz sur le Swing :
“ Swing is my idea of how a tune should go” - Louis Armstrong
“ Swing is and was the way a jazz number is played, the syncopated lift a performer or ensemble gets into jazz performances” - Duke Ellington
“Swing is complete and inspired freedom on rhythmic interpretation” - Gene Krupa
“ Swing is syncopated syncopation” - Jess Stacy
“ Swing is a band swinging when its collective improvisation is rhythmically integrated” - John Hammond
“ Swing is feeling an increase in tempo though you’re still playing at the same tempo” - Wingy Manone
“ Swing is something that you have to feel; a sensation that can be conveyed to others” - Glenn Miller
“Le swing est une fusion entre le corps et l’esprit. C’est une sensation unique qui transporte le musicien de jazz développant ses pouvoirs créatifs et sensoriels tel un véritable magicien. Le swing est aussi le fruit d’une entente, d’une interaction entre musiciens de jazz qui ont en commun l’art de créer et comprendre ce sentiment fantastique.” - Michel Pastre
Vous pouvez aussi vous référer la définition du Swing dans “Le Nouveau Dictionnaire Du Jazz” de Philippe Carles, André Clergeat, Jean-Louis Comolli, aux Editions Robert Laffond, paru en Octobre 2011 (p.1224).
On sait juste que le Swing ne se traduit pas en symboles sur une partition. Ces définitions, toutes très différentes, nous en disent sans doute plus sur leurs auteurs que sur le Swing lui-même. Mais cela nous dit aussi la richesse de cette musique et de ses interprètes, la magie de sa création et de son interprétation.
C'est peut-être Duke Ellington qui nous livre finalement la plus belle des définitions lorsqu'en 1932 il donna à l'un de ses morceaux ce titre aux allures d'éloge absolu du Swing : « It don’t mean a thing (if it ain’t got that swing)».
Voici ce que disent des grands noms du jazz sur le Swing :
“ Swing is my idea of how a tune should go” - Louis Armstrong
“ Swing is and was the way a jazz number is played, the syncopated lift a performer or ensemble gets into jazz performances” - Duke Ellington
“Swing is complete and inspired freedom on rhythmic interpretation” - Gene Krupa
“ Swing is syncopated syncopation” - Jess Stacy
“ Swing is a band swinging when its collective improvisation is rhythmically integrated” - John Hammond
“ Swing is feeling an increase in tempo though you’re still playing at the same tempo” - Wingy Manone
“ Swing is something that you have to feel; a sensation that can be conveyed to others” - Glenn Miller
“Le swing est une fusion entre le corps et l’esprit. C’est une sensation unique qui transporte le musicien de jazz développant ses pouvoirs créatifs et sensoriels tel un véritable magicien. Le swing est aussi le fruit d’une entente, d’une interaction entre musiciens de jazz qui ont en commun l’art de créer et comprendre ce sentiment fantastique.” - Michel Pastre
Vous pouvez aussi vous référer la définition du Swing dans “Le Nouveau Dictionnaire Du Jazz” de Philippe Carles, André Clergeat, Jean-Louis Comolli, aux Editions Robert Laffond, paru en Octobre 2011 (p.1224).
Puis on reconnaît immédiatement ce standard du jazz, Stompin’ at the Savoy, interprété ici par le monumental Art Tatum et son orchestre.
Soliste brillant, Johnny Hodges, dit « the rabbit », nous montre l’étendue de son talent : finesse, maîtrise et équilibre.
Blues for Norman interprété ici par Lionel Hampton et Count Basie. Avec Ray Brown à la contrebasse et Buddy Rich à la batterie
Swing Mood Jazz
Webmaster Mathilde PICART
mathilde.picart@orange.fr
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#SwingToTheBone